03 juin 2025
Après une année 2024 placée sous le signe de l’apprentissage – riche en formations, lectures et certifications autour du numérique responsable – 2025 marque pour moi le passage à l’action concrète sur le terrain.
Dans cette série d’articles, je vous embarque avec moi à la découverte d’un projet enthousiasmant mené au sein de l’institution Jeanne d’Arc (Gex/Cessy), où élèves et enseignants se sont mobilisés autour de questions clés :
Objectif : partager mes retours d’expérience, les approches pédagogiques mises en place, les questions soulevées par les jeunes, et – je l’espère – inspirer d’autres établissements, professionnels ou curieux à initier des démarches similaires. C’est parti!
Précédent article de la série « Numérique responsable dans l’éducation » :
Après avoir animé une conférence auprès des enseignants du collège de l’institution Jeanne d’Arc, c’est avec une joie immense que j’ai vu ce projet s’étendre au lycée !
C’est grâce à l’initiative de Madame De Courville, adjointe en pastorale à l’institution Jeanne d’Arc, que cette aventure a démarré au Lycée. Elle m’a fait l’honneur de me proposer d’intervenir auprès de lycéens dans le cadre d’un cycle d’ateliers de sensibilisation au numérique responsable. Une proposition que j’ai acceptée avec enthousiasme… et une bonne dose d’excitation !
Plusieurs thématiques ont été proposées aux élèves. À ma grande joie, le numérique responsable est arrivé en tête de leurs préférences. J’avais donc une mission à relever : ne pas les décevoir !
Avec Madame De Courville, nous avons imaginé une formule agile, en 5 ateliers d’une heure, à destination d’un premier groupe de 12 élèves de seconde (15/16 ans). Le parcours pédagogique s’est construit autour de trois thématiques de base, enrichies de deux sujets optionnels choisis par les élèves dès le deuxième atelier.
Les sujets retenus par le groupe :
Ce lundi 14 avril, nous avons terminé le cinquième et dernier atelier avec ce groupe pilote. Mon sentiment ? Une immense satisfaction. J’ai été bluffé par l’énergie, la curiosité et la pertinence des échanges. Les élèves ont posé des questions profondes, parfois déroutantes, et toujours stimulantes. Leur intérêt était palpable, leur regard souvent lucide.
C’est donc avec une vraie joie que j’ai confirmé à Madame Bernard De Courville ma volonté de poursuivre l’expérience avec un nouveau groupe après les vacances de printemps.
Et un clin d’œil reconnaissant à SoKube, qui m’encourage à faire rayonner ces sujets au-delà de l’entreprise. Avoir la possibilité d’agir sur le terrain et semer des graines d’éveil, c’est précieux.
La suite au prochain épisode… 😉